Elle a couvert le festival de la première à la dernière heure, pris des milliers de clichés pour saisir l’instant magique, celui où le regard de la photographe saisit l’émotion de l’artiste dans une sorte d’intimité instantanée que le public ne peut ressentir dans le lointain de la scène.
Et puis Marie-Line a vidé ses cartes-mémoires, passé de longues soirées à trier, revoir et regarder pour trouver les pépites de son intense travail et elle nous livre ici quelques-uns de ses plus beaux clichés-souvenirs de cette édition de Jazz à l’Evêché 2016…
(Voir l’interview de Marie-Line Bonneau à propos de son travail photographique)

Majnun
A suivre…