Durant l’occupation de 1940 à 1944, l’écrivain et critique d’art Léon Werth est resté caché dans sa maison de Saint Amour dans le Jura. Il en tirera un livre “Déposition” publié en 1947.
Léon Werth, né le à Remiremont (Vosges) et mort le à Paris, est un romancier, essayiste, critique d’art et journaliste français, mais d’autres qualificatifs, cités par son biographe, le définissent d’une manière plus explicite pour comprendre son œuvre : libertaire, antimilitariste, soldat des tranchées, nageur, danseur, voyageur, cycliste, poète et observateur, dévoreur de vie, familier des peintres Vlaminck, Pierre Bonnard, Francis Jourdain, et Paul Signac, ami d’Octave Mirbeau et de Saint-Exupéry.
A partir de cette histoire, les réalisateurs Laurent Cibien et Samuel Gontier ont écrit un projet de documentaire actuellement en tournage.
A leur demande, l’équipe du Centre de la mémoire d’Issoudun, dépositaire des archives de Léon Werth, s’est rendue sur place avec le manuscrit et divers objets ayant appartenu à l’écrivain.
Centre de la Mémoire d’Issoudun
Réalisation Laurent Mabed
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