Un peu, beaucoup,passionnément
“C’est un petit bonheur que j’avais ramassé, il était tout en pleurs sur le bord d’un fossé” chantait Félix Leclerc. Sur les parterres d’Orléans poussent un peu, beaucoup, passionnément, des pâquerettes. Proches comme nous les unes des autres, mais toutefois biens plus serrées. Elles se tiennent là comme un bouquet tendu, même si déjà un peu fané. Juste à cueillir des yeux.
Tout cela pour nous dire qu’un peu, beaucoup, passionnément, le beau temps reviendra dans nos jardins secrets.