[Publi] Orange s’engage pour le Net zero carbone en 2040

Depuis 10 ans, Orange est en avance sur les objectifs du secteur des télécommunications, tentant de maîtriser toujours d’avantage son empreinte environnementale. Dans son plan stratégique « Engage 2025 », l’opérateur s’est fixé des objectifs ambitieux en matière de lutte contre le changement climatique dont une décarbonation progressive de ses activités pour atteindre le Net zero carbone en 2040.

Les Datas Centers sont responsables de 9% des émissions de CO2. Aussi Orange a construit récemment deux nouveaux Datas Centers dont un à Chartres (Région Centre) pour réduire sa consommation électrique. ©Orange

« Maîtriser notre impact environnemental est un socle important qui nous oblige et nous engage », soulignait Fabienne Dulac, Directrice Générale Adjointe d’Orange, lors de la conférence de presse du 6 octobre 2020 sur les engagements de l’opérateur en matière d’économie circulaire et de recyclage des téléphones mobiles. Un enjeu auquel la 8e marque mondiale de télécommunication s’efforce de répondre depuis 10 ans, avant même les engagements pris par les acteurs de la GSMA (Association internationale représentant près de 800 opérateurs et constructeurs de téléphonie mobile de 220 pays).

Le climat du Centre propice aux data Centers

Pour atteindre la neutralité carbone en 2040, Orange vise une première étape avec une réduction de 30% de son empreinte en 2025 et 50% de son mix énergétique en énergie renouvelable. Comment ? Pour cela, le groupe agit sur ses propres émissions en améliorant la performance de ses bâtiments. Le nouveau site Orange Inter-rives de Fleury-les-Aubrais, près d’Orléans (Loiret) sera ainsi doté d’une Gestion technique du bâtiment (GTB) qui permettra d’optimiser les consommations d’énergie en fonction des horaires d’occupation des collaborateurs et d’alerter sur des consommations anormales.

De même, pour limiter l’impact de ses activités, Orange recourt progressivement aux énergies renouvelables et au remplacement des équipements de fonctionnement de son réseau les plus énergivores par des équipements plus performants comme le dernier né de ses Data Centers à Chartres. De part sa géographie et son climat tempéré, la région Centre-Val de Loire permet l’utilisation du free cooling, système de récupération d’air frais extérieur qui permet de refroidir les équipements informatiques et les serveurs, indispensables à l’explosion des usages du numérique.

La vidéo, ennemie de la consommation d’énergie

« Aujourd’hui, 80% des produits finissent par être jetés au bout de 6 mois , soulignait Fabienne Dulac, ajoutant que le numérique constitue 4% des émissions de CO2 dans le monde. » C’est pourquoi Orange a décidé d’intervenir en amont et en aval de ses activités et des produits qu’il distribue pour agir aussi sur les émissions indirectes que produisent non seulement ses fournisseurs, dans le cadre de la fabrication des boxes, des décodeurs et des smartphones, mais aussi ses clients en appliquant les principes de l’économie circulaire (reconditionnement de terminaux) et la sensibilisation aux usages. Les applications Orange & moi et Sosh & moi proposent ainsi aux utilisateurs d’avoir un regard sur leurs consommations numériques et l’équivalent en CO2, et le site bienvivreledigital.orange.fr. de retrouver des conseils et bonnes pratiques pour limiter son empreinte environnementale.

Aujourd’hui environ 40% de la consommation des équipements réseau d’Orange proviennent de l’accès mobile. Une consommation qui devrait continuer sa progression dans les prochaines années avec l’usage de la navigation internet, du streaming, de la visio, la mise en veille… qui dépend beaucoup des réseaux 4G, ADSL, ou encore Fibre.
À titre d’exemple, une heure de vidéo en streaming sur un mobile c’est 423Wh de consommés (soit 7 lampes de 60W qui brûlent pendant une heure), une consommation 10 fois moins importante sur l’ADSL. C’est dire la nécessité absolue d’utiliser le WIFI pour l’usage vidéo et de ne recourir à la 4G qu’en cas de mobilité.

En France, 100 millions de mobiles usagés dorment dans les tiroirs. Avec le programme « Re » (recyclage, reprise,reconditionnement), l’opérateur sensibilise le grand public à l’impact environnemental des téléphones mobiles©Orange.

Inciter aux eco-gestes et à la seconde vie des produits

À l’inverse, le numérique peut représenter une opportunité de réduction des émissions de CO2 dans d’autres secteurs. La domotique par exemple permet aujourd’hui d’économiser jusqu’à 20% de la consommation d’un logement (prise électrique intelligente, interrupteur connecté, programmation du chauffage à distance…), sachant qu’un kilo de CO2 produit par le numérique réduit l’équivalent de 10kg de CO2 dans les autres secteurs selon le GSMA.

Enfin, avec son tout nouveau programme « Re » (Recyclage, reprise, reconditionnement) Orange compte accélérer sa collecte et le recyclage des terminaux fixes et mobiles (15 millions collectés depuis 2005 dans le monde dont 8 millions en France). « Mais 100 millions dorment encore ! », indiquait Fabienne Dulac. Ainsi Orange se fixe comme objectifs de passer de 87% à 90% pour la collecte des produits fixes et des boxes et de 15% à 30% pour les mobiles. « Une performance économique et environnementale avec un gisement de métaux rares à réutiliser pour éviter les émissions liées à l’extraction des matériaux, allonger la durée de vie des produits, et inscrire ce geste d’une seconde vie dans notre quotidien. C’est le rôle des leaders d’ouvrir de nouveaux chemins ».

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