Une vidéo parodique dénonce le plan vélo d’Orléans Métropole

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1. Quand l’ange a entendu pour la première fois le rire du Malin, il en a été frappé de stupeur. Ça se passait pendant un festin, la salle était pleine de monde et les gens ont été gagnés l’un après l’autre par le rire du diable, qui est horriblement contagieux. L’ange comprenait clairement que ce rire était dirigé contre Dieu et contre la dignité de son œuvre.
   Il savait qu’il devait réagir vite, d’une manière ou d’une autre, mais il se sentait faible et sans défense. Ne pouvant rien inventer lui-même, il a singé son adversaire. Ouvrant la bouche, il émettait des sons entrecoupés, saccadés, dans les intervalles supérieurs de son registre vocal […] mais en leur donnant un sens opposé : tandis que le rire désignait l’absurdité des choses, l’ange voulait au contraire se réjouir que tout fût ici-bas bien ordonné, sagement conçu, bon et plein de sens. (Milan Kundera, le Livre du rire et de l’oubli)

2. Ne pas oublier qu’on a changé de maire entre-temps. Non que le précédent ait été un génie, mais grouard est quand même universellement reconnu pour entre autre

   1- ne s’interesser qu’ à lui même
   2- n’en avoir strictement rien à foutre des jeunes et d’une manière générale des moins de 50 ans car ils ne votent pas assez pour lui
   3- il n’y a pas assez de personnes âgés (ses électeurs) a vélo pour que cela l’intéresse
   4- avoir une grande envie d’emmerder tous ceux qui ne votent pas pour lui
   5- n’avoir aucun sens de l’intérêt général

   • Ce serait trop simple et j’allais dire trop beau s’il fallait imputer la situation au seul Serge Grouard. C’est une responsabilité collective, droite et gauche confondue. Les élus de ce département ont mis vingt cinq ans à comprendre que la Loire à vélo, outre son intérêt touristique et écologique constituait une manne économique pour les communes traversées au point que tout le monde pleure aujourd’hui pour être sur l’itinéraire balisé. Il en est de même pour l’organisation de la circulation dans les villes dans le contexte du post-covid et de la crise climatique, ils n’ont pas compris l’évolution en cours, ils pensent que le vélo comme mode majeur de déplacement en zone urbaine est affaire de culture (nous ne sommes pas en Hollande hein ?…) alors que c’est affaire d’aménagement. Augmentez le gabarit d’une voie de circulation automobile, et vous accroissez le trafic qui ne sera pas plus fluide. Faites des pistes cyclables et les gens prendront massivement le vélo. Et ce n’est pas nécessairement affaire d’âge, à 73 ans, je parcours encore de longues distances sur un vélo sans assistance électrique, même si je dois plus souvent mettre pied à terre devant Paulette quand ça monte, mais ici, c’est rare que ça monte.

3. Régis, un commentaire ?

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