Un “Festival inopiné” avec l’école d’art et de design d’Orléans

Elle n’est vraiment pas sage comme une image ! “De la légèreté à l’énergie, l’école supérieure d’art et de design  d’Orléans réfléchit à son état, à celui de la société, à son rôle d’apporteur d’idées par l’imagination, l’expérimentation et la création…”  Ainsi, l’Ecole Supérieur d’Art et de Design d’Orléans dont Jacqueline Febvre est la directrice, propose du 8 au 19 avril, au Campo Santo, dont elle est riveraine, son “Festival inopiné”. 

“Place à tout l’écosystème culturel de la métropole”

Pour cela, l’école a tenu à solliciter “des contributions variées de tout l’écosystème culturel de la Métropole”. Sont ainsi invités, aux côtés des étudiants, des artistes et des designers, la participation du Centre dramatique national, du Centre chorégraphique national,  du Musée des Beaux-Arts, mais aussi, entre autres  structures culturelles, le Domaine national de Chambord.

Pour ce rendez-vous différents projets seront ainsi montés avec différents artistes :
-architectures légères avec le collectif YokYok pour le Domaine national de Chambord; 
–sculptures avec Ugo Schiavi, pour le Musée des Beaux-Arts d’Orléans; 
-une cinquième façade pour le ciel, avec Éric Verrier et Olivier Soulerin;
-un atelier végétal avec Clothilde Liot et Giulio Giorgi;
-une performance avec l’artiste Victoria Belen Martinez, autour du spectacle “Capuche” avec le Centre dramatique national;
-une conférence et des échauffements dans la Bulle-Environnement du Centre chorégraphique national d’Orléans animés par le chorégraphe Jefta Van Dinther.

Un rendez-vous chargé de productions “miraculeuses”

A noter: la Bulle du CCNO se posera sur la pelouse pour accueillir des créations et des spectacles, des moments de repos, des mini-débats, ou des cours de yoga.

A Orléans, l”ESAD , peu sage comme une image, le promet à chacun  : “Tous les intervenants contribueront à des productions « miraculeuses » sur le Campo Santo, reflet d’une création vivante et prospective du XXIe siècle…Cette variété montrera la richesse des modes de conception dans une école d’art, la part d’imagination, de techniques, d’artisanat, de bricolage, d’ingénierie…”

JDB.